vendredi 25 décembre 2015

Le coeur entre les pages - Shelly KING



Titre : Le cœur entre les pages
Auteur : Shelly King
Illustrateur de couverture : Stacy Lee Patton & Hayley Anne
Traducteur : Pascale Haas
Editeur : Préludes
Date d'impression : avril 2015
ISBN : 978-2-253-19100-1
Prix éditeur : 14,60€
Pages : 384

Quatrième de couverture : 

Maggie, 34 ans, vient d’être licenciée de la start-up branchée de la Silicon Valley où elle travaillait. 

Que faire sinon traîner au Dragonfly, la pittoresque librairie de livres d’occasions ? Lassé de la voir végéter, Dizzy, son meilleur ami, lui propose de participer à un club de lecture. Au programme : L’Amant de Lady Chatterley. 

Dans l’édition ancienne qu’elle déniche, Maggie découvre une mystérieuse correspondance amoureuse… 

Cette découverte va bouleverser la vie de la jeune femme et celle de la petite librairie menacée de fermeture par la concurrence. Le tout sous les yeux espiègles de Grendel, le chat qui a élu domicile parmi les rayonnages.

Critique : 

Un roman sur le monde du livre ne pouvait qu’attirer mon attention. Tout se déroule dans une librairie à l’ancienne dans la Silicon Valley. Le contraste est assez flagrant. C’est la lutte entre le papier et le numérique, mais aussi entre le neuf et l’occasion. J’aime bien ce côté du récit. Maggie est au chômage, comme de nombreuses personnes aujourd’hui. Son histoire est très réaliste. La jeune femme semble un peu perdu jusqu’à ce qu’elle trouve un roman puis un emploi. La romance qui apparaît dans les marges de l’Amant de Lady Chatterley est fascinante. Elle intrigue bien plus que celle de Maggie. Hugo, le patron du Dragonfly, ressemble à un hippie. Il est adorable. Jason est un bougon assez attachant. Il appartient au même monde que Maggie, celui de geek. L’histoire est touchante, mais parfois tellement lente que mes pensées divaguaient bien loin. L’idée générale du roman est superbe, pourtant je me suis ennuyée. Dans le résumé et sur la magnifique couverture, il y a un chat. J’aime les miaous. En réalité, il n’est que peu présent au fils des pages. J’ai un arrière goût de déception en lisant la dernière ligne de cette histoire.

 

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