Titre :
Ma petite maîtresse
Tome :
2
Auteur :
Yuki Yoshihara
Traducteur :
Florent Gorges
Editeur :
Soleil
Date d'impression :
novembre 2008
ISBN :
978-2-30200-445-0
Prix éditeur :
6,95€
Pages :
192
Quatrième de
couverture :
Chôko est la fille d’une ancienne riche et puissante famille
aujourd’hui reconvertie en un petit restaurant de nouilles suite à une faillite
treize ans auparavant. Chôko a grandi et à la fin de ses études, elle cherche
un travail. Elle trouve finalement un emploi dans la célébrissime
multinationale immobilière Benten et découvre que son supérieur direct n’est
autre que son ancien servant…
Si parfois ce dernier se montre très doux et dévoué, il y a
également des moments où il fait preuve d’un sadisme et d’une cruauté rares à
l’égard de son ancienne protégée. Pourtant, Chôko ne parvient pas à s’épargner
de nouveaux sentiments : elle aime le bourreau de son cœur, son ancien
domestique qu’elle surnommait autrefois Cha-chan. Si autrefois elle l’aimait
d’un amour d’enfant, aujourd’hui, elle l’aime d’un amour d’adulte.
Critique :
L’histoire n’avance pas très rapidement, et n’est pas très
drôle. Les dessins en mode chibi sont assez moches. Ils tranchent avec le style
du reste du manga. On voit apparaitre une fille à papa qui veut épouser
Masayuki. Chôko fait des bourdes un peu grosses même pour une jeune femme sans
expérience sexuelle. J’ai aimé découvrir la raison du poste qu’occupe Cha-Chan,
même si c’était couru d’avance. Il n’y a rien de bien intéressant, surtout pas
de surprises.
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