Titre :
Ma petite maîtresse
Tome :
5
Auteur :
Yuki Yoshihara
Traducteur :
Florent Gorges
Editeur :
Soleil Manga
Date d'impression :
septembre 2009
ISBN :
978-2-30200-732-1
Prix éditeur :
6,95€
Pages :
192
Quatrième de
couverture :
Chôko est la fille d’une ancienne, riche et puissante
famille qui, aujourd’hui et après avoir fait faillite, s’est reconvertie en
ouvrant un modeste restaurant de nouilles. Chôko a grandit après avoir décroché
un emploi en tant que secrétaire, se rend compte que son supérieur n’est autre
que son ancien servant. Si en privé ce dernier se montre très doux et dévoué,
en public Masayuki fait preuve d’un sadisme et d’une cruauté rare à l’égard de
son ancienne protégée. Pourtant, Chôko ne parvient pas à s’épargner de nouveaux
sentiments : elle aime le bourreau de son cœur, son ancien domestique et
tous les deux vivent un amour tumultueux. Surtout que Masayuki lui propose
d’habiter ensemble…
Critique :
Et voilà, le couple a un petit souci d’ordre sexuel. Comme
toujours dans ce manga, Chôko balance entre une position où la femme est un
être sans pouvoir relégué aux tâches ingrates et une autre où elle a tous
pouvoirs sur l’homme. Deux situations en totale contradiction ! Deux
visions de relations homme-femme. Les dessins inter-chapitre sont bien plus
travaillés que l’ensemble des dessins du manga.
Autres tomes :
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