La fille qui ne croyait pas aux miracles - Wendy WUNDER

Titre : La fille qui ne croyait pas aux miracles

Auteur : Wendy Wunder

Illustrateur de couverture : Stuart Brill

Traducteur : Raphaël Eschenbrenner

Editeur : Hachette

Collection : Black Moon

Date d'impression : avril 2012

ISBN : 978-2-01-202374-1

Prix éditeur : 16€

Pages : 384

Quatrième de couverture : 

Cam ne croit pas aux miracles. Ni au paradis, ni en Dieu. Mais pas à la magie non plus. 

Elle sait qu’elle est malade. Condamnée. Fin du débat. 

Elle établit alors la liste des choses qu’elle veut faire avant de mourir : 

-perdre sa virginité pendant une fête de lycéens bien arrosée. 

-se faire briser le cœur par un sale type. 
-se morfondre misérablement, pleurer, bouder et dormir durant un samedi entier. 
-faire tomber une vache qui dort debout. 
-détruire les rêves de ma petite sœur. 
-commettre des vols à l’étalage minables. 

Il paraît que le simple fait d’avoir écrit ces vœux les déclenchera. Seulement Cam n’est pas du genre à attendre que le destin se décide. Elle préfère le bousculer et se débrouiller toute seule pour les réaliser. En aura-t-elle le temps ?

Critique : 

Cam, diminutif de Campbell, est une adolescente comme les autres. Elle aime regarder des films dans sa chambre ou rester sous sa couette. Elle n’a qu’un petit détail qui est différent. Elle a un cancer. J’ai aimé suivre ce personnage terre à terre et désillusionné. Elle ne croit plus en rien. Sa famille croit au merveilleux. Sa mère et sa sœur espèrent toujours un miracle. C’est là qu’il y a une histoire. Cam sait comment se terminera le voyage, comme le lecteur. De pessimiste, elle passe à une jeune femme pleine de vie. Les personnages sont envoûtants. Le roman se lit bien. Il est léger malgré le sujet délicat. La conclusion qu’on peut en retirer est que la vie mérite d’âtre vécu quel qu’en soit le prix. Ma grosse déception vient de la fin. Elle est trop idéaliste et romantique. Cela retire une part de l’émotion que doit susciter la scène.