Titre
:
Le Club de la Petite Librairie
Auteur
: Deborah Meyler
Illustrateur
de couverture : Urban Zintel, Getty images
Traducteur
:
Jocelyne Barsse
Editeur
:
City
Date
de parution : mars 2014
ISBN
:
978-2-8246-0401-5
Prix
éditeur :
18,90€
Pages : 412
Quatrième
de couverture :
Jeune femme brillante, Esme obtient une bourse à
l’université de Columbia à New York. Dans cette ville où tout est tellement
éphémère, elle tombe amoureuse de Mitchell. Tout va bien. Jusqu’à ce qu’elle
soit enceinte : là, Mitchell annonce qu’il s’en va.
Déterminée à reprendre sa vie en main,
Esme trouve un travail dans une petite librairie de quartier, tenue par George,
son propriétaire excentrique et le taciturne Luke dont le rêve est de devenir
guitariste. Au milieu des livres, la jeune femme trouve un réconfort bienvenu,
tout comme auprès des clients de la librairie qui deviennent des amis et des
soutiens.
Et puis, un jour, Mitchell revient.
Esme a-t-elle vraiment envie de lui accorder une seconde chance ? Le
bonheur est-il à ce prix ?
Critique
:
En me baladant entre les rayons de la bibliothèque, je découvre ce roman. Il
semblait intéressant. Esme est une jeune étudiante d’origine anglaise venue
faire ses études à New York. Le début est idyllique. Le bébé vient tout
bouleverser. Mitchell ressemble à l’homme parfait. Il est le stéréotype du
gendre riche et bien élevé, mais tout n’est que façade, et le lecteur le voit
dès le début. Si ce personnage ne réapparaissait pas, l’histoire aurait
peut-être été meilleure. La relation d’Esme et Mitchell prend trop de place ce
qui empêche un approfondissement des relations entre les employés de la
librairie. J’aimerais avoir une petite librairie où me rendre semblable à
celle-ci. Le souci est mon manque de culture. Par exemple, les artistes et
auteurs cités ne me disent pas grand-chose, pour la plupart. Beaucoup de thèmes
sont abordés dans ce roman, mais pas approfondis, ce qui est frustrant. Ajouté
à cela une envie irrépressible de secouer comme un cocotier Esme et vous vous
approcherez de mon ressenti pendant une bonne partie du récit. Cela reste une
lecture agréable. Je veux trouver le même livre mais Mitchell est viré dès la
conception du bébé. Ainsi, il laisse la place à l’amitié et la solidarité. J’ai
fini la dernière page et il me reste des questions. La fin est ouverte et
laisse place à l’imagination. J’apprécie mais ce n’est pas un livre que je
souhaite relire ou conserver dans ma bibliothèque personnelle.
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