Titre :
La fée de la glace
Auteur :
Barbara Cartland
Illustrateur de
couverture : Etienne Lage
Traducteur :
Françoise Colas
Editeur :
J’ai lu
Date d'impression :
25 septembre 1978
ISBN :
2-277-11845-1
Prix d’achat :
1,50€
Pages :
255
Quatrième de couverture
:
Un exquis visage, des boucles d’or pâle, un regard bleu
gentiane, une silhouette légère, tout est grâce et harmonie en Lina :
n’est-ce pas d’ailleurs une future championne de patinage – qui sur la glace
semble voler plus que glisser ?
Dans le Saint-Moritz brillant et mondain où elle vit, sa
beauté aurait dû lui valoir une cour d’admirateurs, l’exposer à mille
tentations. Non, Lina est demeurée pure, candide. C’est cette innocence qui
déconcerte, puis charme le séduisant Hugues Roxburton, richissime lord anglais
et célibataire cynique…
Bientôt, entre ces deux êtres que tout sépare, naît une
secrète tendresse. Sentiment qui se heurte à l’opposition des grands parents de
Lina et qui surtout déchaîne la jalousie de Caroline, l’ambitieuse maîtresse de
Lord Roxburton. Hugues lui-même s’effraye de ce qu’il ressent…
Critique :
Au début, il y a Lord Roxburton qui s’ennui et tombe sous le charme d’une jeune
femme. Une grande différence d’âge entre eux existe. Ils se tournent autour
pendant très… très longtemps. Caroline est l’horrible femme jalouse qui tente
tout pour garder cette grosse fortune, qu’est Hugues. Elle m’a fait penser à
une enfant de trois ans qui fait un caprice. En somme, c’est l’histoire de
Cendrillon revisitée. Il y a un aspect que je n’ai pas apprécié. Hugues
Roxburton a hérité sa fortune d’un cousin. Il tombe amoureux de sa fille
cachée, c’est très étonnant. Ainsi la fortune reste à lui s’il l’épouse. Les
mariages en famille, c’est vraiment très pratique. Bien qu’à l’époque où se déroule
hypothétiquement le récit, cette pratique était courante. Aujourd’hui, elle est
interdite entre proches cousins et très mal vu même entre parents éloignés. Je
ne vous conseillerais pas ce roman, malgré qu’il parle de patinage artistique.
Ce sujet est pourtant l’un de ceux que j’aime.
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