Titre
:
Idylle en Ecosse
Auteur
:
Barbara Cartland
Illustrateur
de couverture : Denise Antonini
Traducteur
:
Elise Champon
Editeur
:
J’ai lu
Date
d'impression : 27 novembre 1997
ISBN
:
2-290-04666-3
Prix
éditeur :
-
Pages : 160
Quatrième
de couverture :
Elle arrive sur le quai de la gare, pitoyable dans son
petit manteau noir usé jusqu’à la trame. Un instant, elle est tentée de
rebrousser chemin. Quelle humiliation ! Le train privé du duc de
Strathvegon est prêt à partir pour l’Ecosse, on n’attend plus qu’elle. Mais ce
n’est pas elle qui est invitée, c’est sa cousine Sarah.
Néanmoins, elle doit remettre au duc la
lettre de son oncle – une véritable insulte : c’est elle qu’on envoie à la
place de Sarah parce qu’elle est le vilain petit canard de la famille. Mais,
orpheline, recueillie par ce parent qui la traite en esclave, a-t-elle le
choix ?
Le duc, lui, est très surpris de voir
arriver cette frêle et étrange jeune fille. Ce voyage, c’est une idée de sa
mère : elle a décidé d’inviter quelques oies blanches parmi lesquelles il
devra choisir une épouse. Tout cela pour détourner les soupçons d’un mari
jaloux et éviter un duel et le scandale du siècle !
Très gênée, elle lui tend la lettre et
lui dit :
- Je… je suis désolée. Je m’appelle
Yseulta et…
Critique
:
Dès que j’ai ouvert le roman, je n’ai même pas eu la possibilité d’imaginer
l’histoire. L’auteur, dans une petite note, explique que jusqu’en 1949 le
mariage par consentement était en vigueur en Ecosse. Donc, si un monsieur et
une dame disent qu’ils sont époux devant deux personnes, alors ils sont mariés.
Yseulta est le parent pauvre dont on se débarrasse vite. Elle part et tombe
sous le charme du duc de Strathvegon. L’homme est encore une fois beau, plus
âgée qu’elle et chevaleresque. Il doit se ranger, se faire oublier et s’occuper
de son domaine. Yseulta est une bouffée de fraîcheur qui le charme. C’est
encore un conte de fée ! L’oncle de la jeune femme est une ordure. Il use
de toutes les stratégies qu’il peut pour salir la réputation du duc et persécuter
sa nièce. Ce qui me manque le plus, c’est de ne pas avoir sa réaction face au
beau mariage de sa nièce. Encore une fois, je trouve que ce roman n’est pas
assez humain pour être réaliste.
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