Titre
:
Complètement cramé !
Auteur
:
Gilles Legardinier
Illustrateur
de couverture : Eric Isselée
Editeur
:
Fleuve Noir
Date
de parution : 18 octobre 2012
ISBN
:
978-2-265-09702-5
Prix
éditeur :
19,50€
Pages : 390
Quatrième
de couverture :
Arrivé à l’âge où presque tous ceux qu’il aimait sont loin
ou disparus, Andrew Blake n’a même plus le cœur à orchestrer des blagues
légendaires avec son vieux complice, Richard. Sur un coup de tête, il décide de
quitter la direction de sa petite entreprise anglaise pour se faire engager
comme majordome en France, pays où il avait rencontré sa femme. Là-bas,
personne ne sait qui il est vraiment, et cela lui va très bien.
Mais en débarquant au domaine de
Beauvillier, rien ne se passe comme prévu… Entre Natalie, sa patronne veuve aux
étranges emplois du temps ; Odile, la cuisinière et son caractère aussi
explosif que ses petits secrets ; Manon, jeune femme de ménage
perdue ; Philippe, le régisseur bien frappé qui vit au fond du parc, et
même l’impressionnant Méphisto, Andrew ne va plus avoir le choix. Lui qui
croyait sa vie derrière lui va être obligé de tout recommencer…
Critique
:
Dès le début, j’ai eu quelques difficultés avec cette histoire. Andrew Blake
est un riche industriel. Il part et décide de prendre des vacances. Pour ce
faire, il a besoin de mentir sur son identité sociale et son passé. Nathalie,
sa patronne, est une femme au grand cœur, malgré ses dehors un peu froid. Son
manoir est devenu une arche de Noé humaine. Il y a trop de bons sentiments, même
si Andrew fait des petites bêtises et des mystères. Le seul véritable problème
est l’entreprise de vautours qui tourne dans le ciel. Nathalie fait face à son
passé et ses sentiments. L’amour est partout, ce qui m’a un peu écœurée. Ce
n’est que dans la deuxième moitié du roman que j’ai vraiment souri, avec les
souris, l’électrocution… Pépé Andrew est trop moralisateur… enfin son grand âge
fait qu’il conseille tout le monde. Comment dire qu’il devient parfois
énervant, surtout qu’il fait lui aussi des bêtises. Au final, j’ai apprécié ma
lecture, mais pas autant que « ça peut pas rater ! ». Donc mon
cœur balance !
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