Titre
:
L’amour était au rendez-vous
Auteur
:
Barbara Cartland
Illustrateur
de couverture : Etienne Lage
Traducteur
:
Horace Cassidy
Editeur
:
J’ai lu
Date
d'impression : 10 septembre 1985
ISBN
:
2-277-21884-7
Prix
éditeur :
-
Pages : 192
Quatrième
de couverture :
Devenu fou à la suite d’un accident, le marquis de
Morecombe bat sa fille Ivona à coups de cravache. Pire, il décide de l’enfermer
dans un couvent pour qu’elle y expie, dans la prière, ses crimes imaginaires.
Tout plutôt que de se laisser ainsi
séquestrer. Ivona échappe à la surveillance, coupe ses magnifiques cheveux
blonds, se déguise en garçon et s’enfuit dans la nuit.
Recueillie par le duc de Sancerre,
grand collectionneur d’objets d’arts, de chevaux de course et… de jolies
femmes, Ivona tiendra-t-elle son pari et le duc sera-t-il longtemps dupe de ce
manège ?
Critique
:
Tout le début du roman change radicalement des autres romans de cet auteur.
Cette période est sombre et douloureuse. J’ai vraiment eu l’impression
d’éprouver les sentiments d’Ivona. Les souvenirs sont assez confus. La famille
paternelle est tombée dans le fanatisme religieux et la folie. Ils sont cruels
envers les femmes. Cela entraîne un gros contraste avec le bonheur qu’elle
connaîtra avec le duc Robert de Sancerre. Le prénom du duc n’est utilisé qu’une
fois. Il reste donc un homme anonyme qui laisse le lecteur (ou plutôt les
lectrices) libre d’imaginer leur prince. Encore une fois, il est plus âgé et
chevaleresque. Pour une fois le sauvetage va dans les deux sens. Il doit y
avoir un petit souci de traduction parce que le duc est parfois désigné par le
titre de comte. Bien évidemment, l’histoire se précipite. Elle n’a pas le temps
de se développer pour me faire ressentir le bonheur et la joie d’avoir trouver
le véritable amour. Je crois que c’est l’un des romans les plus travaillés de
cet auteur. Peut-être est-ce dû à la période choisie et le lieu. La France
fascine toujours autant les anglais.
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