Auteur
:
Barbara Cartland
Illustrateur
de couverture : Denise Antonini
Traducteur
:
Marie-Noêlle Tranchart
Editeur
:
J’ai lu
Date
d'impression : 9 septembre 1998
ISBN
:
2-290-04979-4
Prix
éditeur :
2,90€
Pages : 160
Quatrième
de couverture :
Le cœur battant la chamade, le comte Michael de Cariston
attend Kristina, sa promise. Il ne l’a jamais vue et cependant, dans quelques
minutes, ils seront unis pour le meilleur et pour le pire.
Le pire, surtout ! songe Michael
avec cynisme. Car c’est contraint et forcée qu’il épouse cette richissime
inconnue dont la fortune lui permettra d’éponger toutes ses dettes.
La porte s’ouvre, Kristina apparaît
enfin. Un épais voile gris masque son visage. Est-elle défigurée ?
C’est une bien étrange épouse que
Michael à trouvée là…
Critique
:
L’histoire ne débute pas avec le mariage, mais avec la présentation de la
situation financière critique du comte de Cariston. Chose particulière, tout le
roman est écrit du point de vue de Michael. L’homme ne comprend pas sa nouvelle
épouse. Il tente d’apprivoiser un petit animal terrifié. Le mariage est
avantageux pour le comte. Kristina est la naïveté dans toute sa splendeur,
puisqu’elle sort du couvent. Elle est donc très bien éduquée. Il n’y a que deux
semaines de la vie des personnages dans 160 pages. Comme toujours, leur
découverte se déroule sans accros, jusqu’à l’arrivée d’un cambrioleur. Malgré
le changement de point de vue, ce roman ressemble à tous les autres de cet
auteur. Ici, ce n’est pas un conte qui est réinterprété, mais l’expression
« ils se marièrent et vécurent heureux ». Cette lecture m’a occupée
mais rien de plus.
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