Titre
:
Brelan de dames
Auteur
:
Barbara Cartland
Illustrateur
de couverture : Pino Daeni
Traducteur
:
Philippe Barbier
Editeur
:
J’ai lu
Collection
:
Collect’or
Date
d'impression : 4 septembre 2006
ISBN
:
2-290-35442-2
Prix
éditeur :
5€
Pages : 288
Quatrième
de couverture :
Auteur dramatique à succès, Randal est surpris dans sa
retraite du Midi de la France par l’arrivée inopinée d’un vieil ami comédien.
Sa fille, Sorella, l’accompagne, une gamine de quinze ans au regard troublant,
à la fois trop distant et trop perspicace pour une enfant de son âge…
Contraint d’héberger la pauvre
orpheline après la mort de son père, tiraillé entre l’attirance qui le pousse
vers Lucille, la trop belle vedette de sa prochaine pièce, et les sentiments
que lui inspire Jane, la fille de Lord Rockampstead, Randal s’interroge…
Critique
:
Au début, Randal semble être un vieil homme célibataire. Avec l’arrivée de
Sorella, il rajeunit et devient l’homme idéal. La jeune fille est mystérieuse.
Elle est habillée de façon grotesque, à un comportement en décalage avec son
apparence de petite fille ou son âge supposé de quinze ans. Elle intrigue et sa
métamorphose la rend sympathique. Jane et Lucille sont des femmes égoïstes qui
veulent le même homme. Elles piquent des colères, sont jalouses et essaient de
manipuler selon leur bon vouloir. Trois femmes voulant la même chose, cela
change des traditionnelles histoires de Barbara Cartland. Sorella ne correspond
pas aux critères qu’une jeune femme doit respecter. Il est assez drôle de voir
les stratégies que mettent en place les deux femmes plus âgées. Au final, il
suffit de rester soi-même. Je n’aime pas la fin où forcément, la femme que va
épouser l’auteur découvre tout d’un coup qu’elle vient d’une bonne famille et
touche une petite rente.
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