Titre
:
Tout est vanité
Série
:
Borgia
Tome
:
4
Auteurs
:
Alejandro Jodorowsky & Milo Manara
Traducteur
:
Jean-Michel Boschet & Marianne Costa
Editeur
:
Drugstore
Date
de parution : décembre 2010
ISBN
:
978-2-7234-7047-6
Prix
éditeur :
13,90€
Pages : 47
Quatrième
de couverture :
Rome n’est plus une ville sainte, mais un chaos sans foi ni
loi. La mafia Borgia, les premiers parrains de l’Histoire, en sont les maîtres.
Critique
:
La fin des Borgia était programmée. Tous leurs soucis auraient pu disparaître avec
la mort fantastique de Charle VIII. Cesare revient dans la vie publique pour
faire face au favoritisme de son père pour Juan. J’ai bien rigolé à deux
moments, la mort du Roi de France et le conseil de Machiavel, hâter la mort du
Pape. Pas de chance pour lui, quelqu’un a été plus rapide. Juan meurt aussi.
Lucrèce accouche d’un magnifique bébé qu’à une autre époque on garderait dans
du formole pour l’étudier. Les morts s’accumulent, Lucrèce puis le dernier
Borgia et le plus fidèle serviteur des ambitions du Pape. Dans cette
bande-dessinée, les scènes de torture ont remplacé celles des fornications. De
grandes libertés sont prises avec la réalité historique. La série reprend des
faits historiques. La série finit avec mes rires et ma déception. Les Borgia étaient
l’incarnation de la vanité et ils l’ont payé.
Autres
tomes :
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