Titre
:
L’aigle et le safran
Auteur
:
Sen
Illustrateur
:
Maelweith
Editeur
:
Aquilegia
Date
d'impression : 2013
ISBN
:
-
Prix
éditeur :
9€
Pages : 250
Quatrième
de couverture :
Déconseillé aux moins de 18 ans.
Lorsque Fairn Elrasirst, Général
d’Empire, croise le chemin de Meïryuu Solien, courtisan dont les charmes
n’égalent que l’orgueil inébranlable, les deux hommes savent instantanément
qu’ils sont destinés à ne pas s’entendre.
C’est sans compter, cependant, sur la
maladie de Fairn, qui le pousse à approcher Meïryuu – et sur les engrenages
politiques qui les entraînent bientôt dans un équilibre mortel entre
fascination, luttes de pouvoir et ambition personnelles…
Critique
:
J’aurais aimé qu’un peu plus de soin soit apporté à la carte. Il n’est pas très
compliqué d’utiliser un logiciel comme Paint pour la rendre plus claire et
lisible. L’histoire est imprimée sur du papier glacé, ce qui n’est pas
confortable. Il y a beaucoup de fautes dans le récit rendant ainsi la lecture
moins savoureuse la lecture. J’ai été déconcertée de ne pas pouvoir réellement
découvrir l’univers dans lequel évolue les personnages. Le lexique donne plus
d’informations que le récit. Les chapitres sont assez courts et ne montrent que
les scènes où Fairn et Meïryuu se retrouvent. Sans surprise, je lis au moins
une scène érotique par section. La fin du roman est plus minutieuse. L’auteur a
du talent. L’ensemble de son écrit aurait juste dû être plus soigné à mon goût.
Les dessins présents pour les changements de chapitres sont élégants. Ils
retranscrivent l’atmosphère des évènements à venir. Je devrais lire un autre
roman de cet auteur pour savoir si elle a su mettre à profit son talent.
J’espère qu’il s’épanouira.
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