Titre
:
Le pouvoir et l’inceste
Série
:
Borgia
Tome
:
2
Auteurs
:
Alejandro Jodorowsky & Milo Manara
Traducteur
:
Jean-Michel Boschet
Editeur
:
Albin Michel
Date
de parution : février 2006
ISBN
:
2-226-16678-5
Prix
éditeur :
13,90€
Pages : 52
Quatrième
de couverture :
Rome n’est plus une ville sainte, mais un chaos sans foi ni
loi. La mafia Borgia, les premiers parrains de l’Histoire, en sont les maîtres.
Critique
:
Ce tome se concentre sur Lucrèce Borgia. Elle possède un corps magnifique et
est dévouée à son père. Son mariage apportera du pouvoir à sa famille, même si
son époux n’aime pas les femmes. Avec Pentasiléa, il est question de loyauté et
de fidélité. Les secrets de la famille restent dans la famille. Des innocents
meurent, assassinés ou sous la torture. Aller savoir si dans le passé,
l’inceste entre Cesare et Lucrèce est à la fois un mythe et une réalité, des
rumeurs rapportées. Ici, Rodrigo pousse ses enfants à s’aimer. La luxure est
dès lors partout. Les dessins le montrent bien. Les femmes se dénudent et
s’offrent. La réalité historique des tenues ancre le lecteur dans une époque
bien différente de la notre. Un dessin de banquet reprend la mise en scène d’un
célèbre tableau, mais il y a une touche d’érotisme en plus. C’est intéressant
que chaque auteur ait une vision différente de l’histoire de cette célèbre
famille. Lecture intéressante, mais toujours à destination des messieurs.
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