Titre :
L’Egyptienne
Auteur :
Merline Lovelace
Traducteur :
Enid Burns
Editeur :
Harlequin
Collection :
Les Historiques
Date d'impression
: juillet 1998
ISBN :
2-280-16237-7
Prix d'achat : 2€
Pages :
352
Quatrième de
couverture :
332 av. J.-C., royaume de Haute-Egypte
Aussi gracieuse et furtive que le chat sacré dont elle ne se
sépare jamais, la grande prêtresse Farahapsut est le joyau de la Haute-Egypte.
Son avenir paraît déjà tout tracé quand son regard croise celui, très bleu, du
capitaine hellène Philippe. Entre eux, aussitôt, la passion flambe, souveraine.
Mais la Grèce et l’Egypte sont en guerre, et Farah est promise à un autre
homme…
Critique :
Je ne parlerais pas de la couverture qui n’est pas des plus belles. La chose
importante à retenir de ce roman, c’est que malgré les différences l’amour est
possible. Farahapsut et Philippe n’ont pas la même religion, culture ou
simplement le même mode de vie. Cela rend certaines scènes assez cocasses, voir
drôles. Le plus amusant, à mon sens, est de voir un homme et un caracal se
battre pour les faveurs de la même femme. Ce récit est bien écrit. L’histoire
est fluide et il n’y a pas ce sempiternel enlèvement qu’on retrouve dans les
Harlequin. L’ensemble est trop centré sur le couple à mon goût et il n’y a pas
assez de descriptions. Il y a quand même la présence d’Alexandre Le Grand et la
fondation de la ville d’Alexandrie pour situer l’histoire. J’ai bien apprécié
cette lecture, mais ce n’est pas non plus de la grande littérature.
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