Un salon du
livre se tient du vendredi 11 septembre au dimanche 13 septembre sur la place
de la Carrière à Nancy. Pour ceux qui sont dans la ville, mais ne savent pas où
se trouve cette place, suivez le regard de la statue du roi Stanislas, sur la
place du même nom.
Dès que j’ai
vu les affiches en m’installant dans la ville, j’ai eu envie d’y aller. Dès le
début de mes cours, les professeurs et une grande partie des élèves m’ont
recommandé d’y aller. Je m’y suis donc rendu. Dans mon esprit, ce salon
ressemblerait à celui de Vannes, dans le Morbihan.
Arrivée sur
les lieux à l’ouverture, j’ai pu constater qu’il y avait déjà foule. A
l’extérieur du grand chapiteau, il y avait les auteurs qui s’autoéditent. Il y
en avait plus d’une vingtaine tous installés les uns à côté des autres. Il n’y
avait pas assez de place pour que plusieurs visiteurs puissent s’approcher et
discuter. Il suffisait de faire un pas pour changer d’interlocuteur. J’ai
rencontrée Francine Hubert qui présentait son roman « Antonin et le Secret des cygnes ». Ensuite, je suis tombée sur
Priscillia Benoit, une jeune auteur et poète. Elle a un style bien à elle. Ses
écrits sont emprunts de gothisme et de sang, pourtant ce n’est pas horrible et
effrayant. Pierre Lallier, auteur de roman, m’a bien vendu « le cuveau des
Fées ». Ce roman contient de
l’héroïque-fantaisie.
Je suis
partie de ce petit havre de paix pour entrer dans la fausse aux lions. Etant
arrivée tôt, il n’y avait pas trop de monde. Les allées étaient grandes. Les
stands dans le chapiteau étaient véritablement encombrés d’auteurs. Je les
plains de devoir rester si proche les uns des autres pendant des heures. Ils
n’ont pas véritablement la place pour exposer leurs ouvrages et discuter avec
les visiteurs. A peine trente minutes après mon entrée dans ce temple des
livres, une foule compacte et pressée avait envahit les allées. Il n’était plus
possible de se déplacer librement. Certaines personnes s’énervaient et
devenaient mal-élevées. Ainsi, il me fut impossible d’accéder à certains
ouvrages. Je voulais rencontrer Jean Teulé, auteur de « Fleur de Tonnerre » un livre que j’avais aimé. Il
présentait l’ensemble de ses romans publiés depuis ce dernier. J’en suis
frustrée.
Dans le fond
du chapiteau, il y a le carré dédié à la jeunesse et plus particulièrement les
bandes-dessinées. Les enfants n’étaient pas les plus présents. Les parents, et
autres adultes, étaient très enthousiastes de rencontrer les dessinateurs. Il
fallait jouer des coudes pour ne serait-ce qu’approcher de l’étalage d’ouvrages.
Je crois que l’organisation de l’ensemble des stands devrait être revue. Les
libraires et éditeurs devraient prévoir plus de place pour chaque auteur. Cela
permettrait aux visiteurs voulant les rencontrer de ne pas faire un
attroupement gênant.
J’ai repéré
quelques livres qui m’intéressent. Peut-être pourrais-je les lire plus tard ou
les acheter dès que j’aurais des sous.
Les Arcanes du Temps – Lionel Béhra
Les noces de soie – Jean-Paul Malaval
Killer Nostrum – Jennifer Holparan
Le bal du siècle – Stéphanie des Horts
La quête du bleu divin – Sylvain Treperman
L’équation – Florent Kieffer
L'usine... mais avec des dédicaces !
RépondreSupprimerTout va mieux quand il y a des dédicaces. ^^
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