Titre : La Prêtresse Blanche
Série : L’Âge des Cinq
Tome : 1
Auteur : Trudi Canavan
Illustrateur de couverture : Stéphane Collignon
Traducteur : Isabelle Troin
Editeur : Bragelonne
Date d'impression : décembre 2009
ISBN : 978-2-35294-364-8
Prix éditeur : 19,90€
Pages : 552
Quatrième de couverture :
Auraya baissa les yeux vers l’anneau blanc à sa main. Il lui conférait
l’immortalité et des pouvoirs
extraordinaires. Jusque-là une jeune fille comme les autres, Auraya était
désormais l’Elue des dieux.
Ainsi
commence une fabuleuse saga dans un monde de magie, de héros, de dieux et
d’amour interdit.
La
jeune prêtresse Auraya est devenue l’une des cinq Blancs, les plus puissants
serviteurs des dieux. Sa mission d’ambassadrice l’amène dans des régions
reculées pour rencontrer des créatures extraordinaires et resserrer les liens
de paix entre les peuples.
Mais
malgré ses dons exceptionnels, sa relation secrète avec un Tisse-Rêves, sorcier
guérisseur accusé d’hérésie, met son avenir en péril.
Quand
un mystérieux sorcier vêtu de noir fait son apparition, laissant derrière lui
un sillage de mort et de destruction, Auraya doit choisir entre ses sentiments
et ses responsabilités. Car même les faveurs des dieux ne suffiront pas à
sauver son peuple…
Critique :
La couverture est magnifique.
Le résumé semble prometteur. Il y a un minuscule glossaire à la fin que je vous
invite à lire avant d’entamer le roman. Auraya est un formidable personnage,
qui donne de la puissance au récit. Leiard est un mystère, puis une source de confusion,
mais toujours sa relation avec la jeune Blanc est au cœur de l’histoire.
L’univers est complexe. Je crois qu’il manque quelques informations pour
permettre au lecteur de bien le comprendre et de véritablement y plonger. J’ai
beaucoup aimé le rôle d’ambassadeur que semble jouer chaque membre des Blancs.
Ils veulent préserver la paix entre les peuples. Il y a évidemment de grands
méchants. Tout reste trop plat à mon goût. Il ne se passe pas assez de choses,
pas assez d’action, malgré la guerre de
religions. Ce roman est une petite déception, même avec la qualité de la
traduction.
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