Titre : Offense à une Lady
Auteur : Juliet Landon
Illustrateur : Thomas Schluck
Traducteur : Philippr Barbier
Editeur : Harlequin
Collection : Les Historiques
Date d'impression : mars 2010
ISBN : 978-2-2808-1623-6
Prix : 5,95€
Auteur : Juliet Landon
Illustrateur : Thomas Schluck
Traducteur : Philippr Barbier
Editeur : Harlequin
Collection : Les Historiques
Date d'impression : mars 2010
ISBN : 978-2-2808-1623-6
Prix : 5,95€
Pages : 338
Quatrième de couverture :
Canterbury, 1359
Lorsque
survient le décès tragique de sa sœur Laurel, Mérielle, bouleversée, n'a plus
qu'une hâte : aller chercher sa nièce orpheline, à Winchester. Un long voyage
qu'elle peut entreprendre sans escorte armée. Cependant, quand le chevalier
Rhyan Lambard se présente et lui propose sa protection, elle hésite : par le passé
en effet, cet homme fruste, mais dangereusement séduisant, a tenté de la forcer
à l'épouser afin de s'emparer de sa fortune ! Or, pour rien au monde Mérielle
ne renoncerait à son indépendance dans ces conditions ! Contrainte par
l'urgence de la situation, elle décide néanmoins de s'en remettre à Lombard. Et
se prépare à subir les pires outrages...
Critique :
Ce roman respecte assez
bien les faits historiques. Sa Majesté est bien représentée comme un homme à
femmes. L'auteur explique ce que sont les demeures royales. Les descriptions
des paysages et des demeures sont de très bonne qualité. Ce sont les seuls
points positifs que j'aie trouvé. Mérielle ne cadre pas du tout avec les femmes
de son époque. Elle
m'a agacée, un moment c'est une croqueuse d'hommes,
ensuite une simple d'esprit ou la victime du destin. Rhyan, le chevalier
blanc qui sauve la princesse, n'est pas beaucoup plus futé que la jeune femme.
Le lecteur en vient à se demander par quel miracle ces deux personnages vont
former un couple. Il y a un fil conducteur pour ce récit : le besoin de
retrouver une nièce, mais rapidement on découvre la mort de la petite. Le reste
de l'histoire n'a pas vraiment de logique. Je crois que c'est l'un des pires
historiques d'Harlequin que j'aie lu. Si je n'aimais pas les livres, je vous
dirais de le brûler. En tous cas, je vous
demanderai de ne pas le lire, vous en seriez que déçu.
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