Titre : La rebelle flamboyante
Auteur : Heather Graham
Illustrateur de couverture : Donald Case
Traducteur : Daniel Garcia
Editeur : J’ai lu
Collection : Aventures & Passions
Date d'impression : 11 décembre 1997
Date d'impression : 11 décembre 1997
ISBN : 2-290-04714-7
Prix éditeur : 6,75€
Pages : 352
Quatrième de couverture :
- Sale
bâtard ! crache Tina en se débattant.
L’insulte
a fusé sans qu’elle puisse la retenir. C’est follement imprudent : elle
est à la merci de l’Indien. Maintenant, il va la tuer, elle en est sûre…
C’est
l’un de ces splendides guerriers séminoles à la peau cuivrée et aux cheveux
tressés, qui parcourent les marécages de la Floride. Mais il y a quelque chose
d’étrange : cet Indien a les yeux bleus ! Un bleu profond, d’une
intensité sidérante. Ce regard, Tina le connaît, il l’a souvent fascinée. Ours
rapide…
La
première fois qu’elle l’a rencontré, il lui avait dit d’appeler James McKenzie.
Ce soir-là, au milieu d’une foule élégante, il portait un costume noir et une
chemise à jabot de dentelle. Chacun de ses gestes trahissaient une énergie, une
vitalité extraordinaire. C’était sans doute pour cela que les femmes
s’affolaient sur son passage, parce qu’elles détectaient sa sauvagerie sous des
dehors civilisés.
Tina,
elle, avait tout de suite su qu’il la haïssait.
Critique :
Ce roman commence par un
passage, qui en fait est le milieu de l’histoire. Ensuite on fait un bon dans
le temps pour tout reprendre depuis le début. Alors l’auteur a un sacré soucis
pour les prénoms. On a Tina et Tara ou encore James, John et Jarett. Du coup,
parfait j’ai eu du mal à m’y retrouver. A la fin, ça allait un peu mieux, mais
j’aurais aimé des prénoms plus différents. Tina fait face à un beau-père
violent et dictateur. Elle doit aussi gérer des sentiments qui choqueraient la
bonne société, même en Amérique. Il y a la guerre, mais aucune description qui
soulève l’estomac pour décrire les atrocités. Comme dans tout roman de gare, il
y a une petite histoire d’enlèvement et de scandale. Il est facile à lire même
s’il reste très plat. Dommage car le fantasme d’une bonne histoire avec un
indien tombe à l’eau.
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